l'incendie

Mais Erzebeth m'a traité de pédophile... les photos pornographiques qu'elle avait vues avant montraient des jeunes, mais pas des mineures !!! PAS DES ENFANTS !!!! Elle a déclaré que je n'étais pas quelqu'un de gentil, alors que quiconque m'a connu témoignerait de l'inverse. Elle m'a traité de radin alors que j'ai mis mon compte bancaire à sa disposition, que je fais les courses en fonction d'elle, que je me suis moi aussi privé pour qu'elle ait ELLE des produits uniquement pour elle (j'ai mis à la poubelle 5 paquets de 4 tranches de rôti de poulet de marque, achetés pour elle, à sa demande quand je cherchais à savoir ce qui lui ferait plaisir/envie, car la D.L.C. était dépassée, encore hier... alors que depuis des mois je me nourris de fromage blanc et de céréales...quand je réussis à me nourir). Elle m'a traité de "juifaillon" (alors que je ne suis même pas juif... Mon Grand-Père Paternel l'était avant de se convertir au catholicisme pour épouser ma Grand-Mère) et a dit que mon Grand-Père avait vendu des Juifs et aurait dû brûler pendant la guerre ; alors que je la sais anti-antisémite et bouleversée par la shoa et le génocide nazi... Qu'elle l'ait traité de muffle alors qu'il s'est conduit comme tel : ça ne maurait pas blessé ainsi. Elle m'a traité de "connard", d' "enculé", de "fils de pute" presque quotidiennement pendant des jours et des jours... Pareil : pour ma marâtre : elle aurait pû la traîter de tout, mais la 1ère fois qu'elle le fît, une semaine plus tôt elle m'apprenaît qu'en Corse, ceux qui employaient cette insulte se retrouvaient au fond du port, avec des chaussures en ciment et les testicules dans la bouche... Je l'ai saisie par le cou en plein restautant... je n'ai pas compris ma réaction.

J'ai fuit, l'ai laissée  rentrer en talons du resto (et payer en plus !) pendant que je vidais l'appart de la majeure partie de mes affaires, du chat que j'ai depuis fait mettre à son nom, et suis parti ; avec dans l'idée de me faire héberger une semaine chez ma Mère, le temps que ça se tasse, que ça retombe... On était à quelques semaines avant que je saute... on voit comment ça a retombé. Elle a trouvé un téléphone, m'a supplié de faire demi-tour, j'ai accepté...

Et durant ces quatre années depuis mon retour, elle s'est enfoncée dans la Dépression - je suis même sensé l'y avoir enfoncée alors que j'ai le sentiment de m'être débattu en tous sens pour la tirer vers le haut... ce contre quoi j'ai beaucoup entendu "On ne peut pas être le Sauveur et le Bourreau"... et tout est allé de mal en pis, au fil des mois puis des années...

- Les petites gènes, comme les objets ou meubles génant le passage du fauteuil roulant VS les rayures effectuées par ce même fauteuil lorsque par accident ou inattention je heurtais l'un des dits meubles.

- La distance qui s'installe VS le besoin de la serrer dans mes bras.

- La violence verbale qui se développe.

- La violence physique quand elle se débattait VS moi qui ne cherchais qu'à l'immobiliser.

- Mes possessions détruites VS certaines des siennes, des robes que j'ai déchiréees (souvent "juste" en serranrt trop fort), dont des CDs, DVDs, Livres, BDs collectors, uniques, dédicacés, à valeur sentimentales...

- La vaisselle cassée puis les objets qui volent.

- Les coups qu'elle recevait, parce que j'essayais de l'attraper et la heurtais lors de ses convulsions. Jamais je n'ai pensé porter un coup... je l'ai pourtant souvent heurtée ainsi... De même que ses cheveux arrachés, arrachés par mon bracelet en cuir alors que je voulais lui saisir le visage (souvent avec tendresse), ce qui m'était impossible sous l'hystérie de ses convulsions, croyant que je l'agressais.

- Puis les objets que l'on lance et qui heurtent - involontairement ou non - l'autre.

- Les menaces, moi au couteau (toujours du bluff, la pointe tendue vers elle ou ver moi), Pour elle de détruire ma voiture petit à petit, pour me saigner à coup de franchise..., des menaces de porter plainte pour coups et blessures, la constitution de dossiers à chaque bleus... Le fait de considérer que je me crois à bord d'un tank, étant dans mon fauteuil - je lui ai roulé sur les pieds... mais lorsqu'elle vient sur moi : chacun avance !!! Je n'ai pas voulu lui écraser les orteils, c'est une conséquence des embrouilles !

- ... Et là, récemment, je lui ai portéee 3 coups. Je l'ai vue me charger, le poing en l'air, je sais avoir lancé 3 coups de poings, aléatoires... Bien qu'elle se soit plaint mille fois auparavant que je sois un "cogneur", c'était la 1ère où j'ai agit en sachant (plus ou moins) que je le faisais...

- Sans compter les fois où je l'ai bien immobilisée, mais sous l'hystérie également devenue mienne, je répondais à ses insultes, humiliations, diffamations, coups de coudes ou tout ce qu'elle a appris au penchack : je l'ai mordue... Je sais que c'est signe de démence... je sais que j'étais hystérique... j'en ai honte et peur...

Elle est déjà partie en Corse 3 mois début 2013... Elle est revenue, d'abord c'était :

- "Je rentre, on se marie VITE, on fait des bébés et on déménage"... j'étais l'homme le plus heureux aux Mondes

puis :

- "Je veux MON coin, MON alcôve, je ne veux AUCUN RAPPORT avec toi"

et enfin :

- "C'est chez MOI ici !!!" Quand bien même elle m'avait transféré le bail, que cela faisait plusieurs mois que j'en payais un loyer et demie, puis un loyer, et souvent tout de la bouffe... Pour moi, c'était chez-nous...

Je lui ai organisé son alcôve.

En rentrant, elle a dormi avec moi, m'a parlé de projets d'avenir commun...

Puis après 2 ou 3 nuits, elle n'a plus supporté mes crises nocturnes de douleurs neurologiques, elle est allée dormir par terre dans son alcôve - négligeant le matelas gonflable que j'avais achetté au cas où - jusqu'à s'offrir un canapé qu'elle a pratiquement toujours squatté depuis et autour duquel elle s'est bâtie une forteresse de boites et de cartons... me laissant le lit (dans lequel elle ne manqua pas de vider une bouteille de vinaigre basalmique) pour ne pas qu'on l'accuse de maltraitance, après les mois où nous n'avions pas de canapé et où - avant la Corse - quand elle me chassait du lit, j'allais dormir sur l'un des matelas gonflables qui se sont succédés dans la cuisine, dans la salle de bains, pendant tant de temps... J'ai même dormi par terre, dans le salon, sur un tapis de sol, en plein hiver, sentant le froid monter du sol...

JE NE SAIS PLUS QUE FAIRE !!!!!! Maintenant, elle va partir en Moselle... Je vais la perdre et cette fois pour toujours...

Je vais même lui rendre les services qu'elle me demande - encore - pour l'aider à partir, comme par exemple lui acheter des cartons...